2 août 2009
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11:07
La buée sur les carreaux.
C'est l'heure où nous quittent les oiseaux.
Et je ne peux retenir,
Mes larmes de te voir partir.
Tout est gris et sombre.
Alors, se profile l'ombre,
Si noire de tes adieux.
Et je ne vois dans tes yeux,
Que les notes qui s'envolent,
Une à une en farandole.
Je me souviens de ces matins d'été,
Riant dans les champs de blé.
Où ton coeur m'aimait,
Et mon âme chantait.
Mais le temps s'en est allé,
Avec lui mon passé.
Je me retrouve seule, isolée,
Je voudrais te crier mes regrets.
Mais les sons ne sont que des nuages,
Qui passent et éclatent en orage.
Mon coeur, brûlant, doucement s'éteint.
De cette image qui m'étreint.
Avec elle, je m'imagine,
Mon amour, remplit d'épines.
Qui m'entraîne toujours au loin,
Comme un souffle sans fin.
C'est l'heure où nous quittent les oiseaux.
Et je ne peux retenir,
Mes larmes de te voir partir.
Tout est gris et sombre.
Alors, se profile l'ombre,
Si noire de tes adieux.
Et je ne vois dans tes yeux,
Que les notes qui s'envolent,
Une à une en farandole.
Je me souviens de ces matins d'été,
Riant dans les champs de blé.
Où ton coeur m'aimait,
Et mon âme chantait.
Mais le temps s'en est allé,
Avec lui mon passé.
Je me retrouve seule, isolée,
Je voudrais te crier mes regrets.
Mais les sons ne sont que des nuages,
Qui passent et éclatent en orage.
Mon coeur, brûlant, doucement s'éteint.
De cette image qui m'étreint.
Avec elle, je m'imagine,
Mon amour, remplit d'épines.
Qui m'entraîne toujours au loin,
Comme un souffle sans fin.